Etc...
Un fil de soie,quelques fils de soit perçoit les filaments des filles à qui l'ont ment pour suivre la file d'amants.Ces filles aimantes, hé!mentent aussi, les fils de soi même mènent au fil de l'eau, impétueux, un père tueur le fil d'Ariane pour en découdre des fils et des enfantements au firmament dans une putain de ferme d'amants.
Etc...
Faire confiance, se faire confiance, faire des confidences, se confier,être convié...surhumain, ou alors par brides, bridé comme un veau à l'abattoir, s'abattre sans se débattre, ou alors porté par l'alcool, alcoolisé sans accolade pour débattre, pour des bas à retirer avant de se tirer une balle dans le pied... pour l'avoir pris...
Etc...
Quelle est l'envie, d'où vient-elle?Quelle est l'essence même de cette repoussante envie de fuir? De courrir sans faim à chaque rire, à chaque regard moqueur,..comment faire confiance? Comment croire? Pourquoi vivre?
Etc...
Croissance, évolution, augmentation,
Le stade d"une maladie correspond à une dose de médicaments.
Cette dose évolue avec le stade de cette maladie.
Cette dose évolue aussi avec l'addiction de cette dose médicamenteuse.
Si la maladie n'évolue pas, la dose évolue d'elle même.
Si la maladie se développe alors les médicaments augmenteront pour la contrer mais aussi pour lutter contre l'habitude du corps à ces médicaments.
Si le stade de la maladie baisse ,la posologie des médicaments ne baissera pas proportionnellement pour lutter contre leurs effets pervers.
Est ce du libéralisme économique?
Etc...
S'admirer dans les regards gênés, insoutenables,perdus,inquisiteurs des autres ,miroirs noirs de nos angoisses.Sensibilité décuplée dans la foule d'une foule de personne, où l'on se retrouve seul,sans personne à qui s'accrocher, se raccrocher ...semblable à une conversation téléphonique sur un repondeur automate pourri ,le seul lieu où la lecture de pensées est adéquate...parler,entendre est si simple...pas toujours naturel...
Trois petits points
L'éternel recommencement, l'infiniment désolant, pour nous, pour les autres, souvent à cause d'eux...les autres, de ceux dont l'attirance nous repousse, les autres, les nôtres...perpétuel rappel de soi...le passé omniprésent parce qu' il sera le futur, rien ne changera...rien ne peut changer..même pas s'échanger...le tumulte des maux n'a d'égal que le silence de la souffrance matérialisé par quelques lignes froides d'une ordonnance.